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GÉOPOLITIQUE – QUESTIONS INTERNATIONALES
MÉDITERRANÉE - MOYEN-ORIENT & ZONES LIMITROPHES

 

Géopolitologue, Docteure en Sociologie politique (EHESS), Chercheuse associée à la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS). Membre du CA de l'iReMMo. Carole ANDRE-DESSORNES est spécialiste des Rapports de forces et Violences / Méditerranée - Moyen-Orient & zones limitrophes. Chargée d'enseignement à l'ICP, Conférencière & Formatrice en Géopolitique, également auteure de nombreux articles et ouvrages.

 

 

 

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Michel Duclos

 

La Syrie est aujourd’hui plongée dans un désastre absolu. Un ancien ambassadeur nous fait revivre dix années pendant lesquelles la diplomatie n’a pu empêcher la tragédie.

Nations unies, début des années 2000 : Michel Duclos observe le désaccord entre les grandes puissances sur la légitimité du recours à la force dans le conflit en Irak. Ce désaccord rebondit ensuite lors de l’intervention militaire en Libye, puis dans l’interminable guerre en Syrie. Ambassadeur de France en Syrie en 2006, le diplomate est alors associé à la relance de la relation entre Paris et Damas, symbolisée par la présence de Bachar al-Assad sur les Champs-Élysées, le 14 juillet 2008. Dès 2011, le printemps arabe frappe aux portes d’un régime particulièrement brutal, dont l’ancien ambassadeur analyse les ressorts profonds.

Connaisseur de ce pays mais aussi des affaires du monde, Michel Duclos examine les facteurs qui, en une dizaine d’années, ont mené la Syrie en enfer : la dynamique des forces sociales et des haines confessionnelles, le jeu des interventions extérieures, l’émergence de Daech et les choix personnels d’un homme, Bachar al-Assad, dont l’auteur brosse un saisissant portrait. Aujourd’hui, une autre guerre, impliquant plus directement les puissances extérieures – Turquie, Iran, Israël, États-Unis et Russie –, a succédé à la guerre civile. Les régimes néo-autoritaires ne sont-ils pas les grands bénéficiaires du conflit syrien, comme jadis la guerre d’Espagne avait servi de catalyseur à la montée en puissance des États totalitaires ? L’impuissance de la diplomatie est-elle devenue une fatalité ?

 

 

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